Nom du blog :
chdjamel
Description du blog :
Comment être journaliste en Algérie à la lumière de ce qui se pratique dans la presse d'ailleurs.
Catégorie :
Blog Actualité
Date de création :
06.10.2007
Dernière mise à jour :
29.09.2018
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Derniers commentairesj'aimerais tellement pouvoir mettre la main sur les livres de brahim brahimi.
Par Anonyme, le 19.07.2025
samy...15 ans déjà...je pense souvent à toi. انا لله وانا اليه راجعون
Par Anonyme, le 06.04.2025
il y'a eu bcp d'erreur et de confusion. le fln a commis des bêtises dont le peuple ignorent....
Par Anonyme, le 30.08.2024
j ai travaillé avec vous et fait les meilleures b,d.
je suis intéressé de reprendre si besoin....
Par Anonyme, le 16.07.2024
je repense souvent à samy. comme ce soir il est présent dans mon esprit mais jamais il n'a quitté mon coeur.
Par Une amie, le 13.01.2024
Notre confrère, journaliste et rédacteur en chef du quotidien El Khabar, Othmane Senadjeki, est décédé hier matin jeudi 30 décembre 2010, à l’hôpital de Beni Messous à Alger des suites d’une maladie. Il s’est éteint à l’âge de 51 ans. Il laisse derrière lui un enfant.
Il a été enterré, hier, dans sa ville natale à Khemis El Khechna (Boumerdès), en présence d’une foule nombreuse composée de journalistes, de directeurs de journaux, des ministres, notamment celui du Travail, Tayeb Louh, de hauts cadres de l’Etat, le général Khaled Nezzar et le secrétaire général de l’UGTA, Sidi Saïd, ainsi qu’un nombre impressionnant de citoyens de Khemis El Khechna.
Othmane avait commencé sa carrière en 1985 au journal public El Chaâb après avoir décroché sa licence en sciences politiques et relations internationales 1982. Il crée, en 1990, le quotidien El Khabar avec des confrères et depuis, il est devenu l’une des pièces maîtresses de ce quotidien. Il s’est incontestablement imposé avec sa gestion exemplaire de l’information durant la guerre du Golfe, en qualité de chef de rubrique internationale. Il remplace, en 1995, le défunt Omar Ourtilène.
Othmane Senadjeki était tout simplement le repère de la rédaction d’El Khabar et l’espoir des journalistes correspondants. Son cheval de bataille était de décrocher un statut qui protègerait les correspondants de presse de toute pression. «Je retiens de lui son combat pour les correspondants de presse. C’est l’un des rares responsables de la presse privée à avoir pris conscience qu’il faut protéger les journalistes de l’intérieur du pays en leur offrant les mêmes droits que ceux des rédactions centrales. C’est une chose qui revient régulièrement chez lui, mais, malheureusement, le message n’est pas passé au sein de ces rédactions», affirme Omar Belhouchet, directeur de la publication d’El Watan. Très affecté, il témoigne également de la sensibilité de Othmane envers l’information régionale. «Je garde de lui également l’image d’un rédacteur en chef à l’écoute des journalistes en dépit de toutes les pressions et la charge de travail. C’est un travailleur infatigable», ajoute M. Belhouchet. Le directeur de la rédaction d’El Khabar, Kamel Djouzi, affirme avoir perdu un repère, un guide et une référence pour son équipe : «Il est plus qu’un frère. Nous sommes ensemble depuis 1985. Il continuait à travailler malgré notre insistance. Rien ne l’arrêtait. Malgré sa maladie, il continuait de monter les quatre étages quotidiennement pour arriver à son bureau et à chaque fois, c’est une douleur aux poumons qui se déclenche. Il refusait le repos et il était présent à la rédaction jusqu’à samedi dernier, jour où il a été hospitalisé.» Ses amis et collègues ne trouvent plus de mots pour témoigner de sa disponibilité pour le travail et de son amour pour le journalisme. Othmane Senadjeki vivait pour le journalisme, s’accordent-ils à dire.
«Nous avons travaillé ensemble pendant 15 ans. Il a une qualité humaine rare et extraordinaire. Il ne vivait que pour son travail qui le passionnait. Un jour après l’avoir supplié de rentrer chez lui pour se reposer, il m’avait répondu par l’affirmative et j’étais presque sûr qu’il avait quitté la rédaction. Finalement, je l’ai retrouvé dans la salle technique», témoigne Mohamed Iouanoughène, rédacteur en chef du journal Wakt El Djazaïr, ancien d’El Khabar. Slimane Hamiche, journaliste à El Khabar, parle d’un homme de terrain et de lutte : «J’estime que la qualité de notre journal témoigne, à elle seule, du professionnalisme de Othmane Senadjeki. Il a donné à sa profession ce qu’il possédait de plus précieux : la santé.» Nassima Oulebsir
A Tlemcen, Nacer Mehal pleure la disparition de Otmane Senadjki
Lors d’un court point de presse, animé hier au siège de la wilaya de Tlemcen, le ministre de la Communication a éclaté en sanglots lorsqu’on l’avait prié de «dire un petit mot» sur le décès de notre confrère d’El Khabar, Othmane Senadjki. A peine avait-il entamé un début de réponse, qu’il s’est tu, fortement ému par cette perte cruelle. D’un commun accord, les journalistes présents ont décidé d’interrompre le point de presse. A la sortie du cabinet du wali, il nous appela pour nous confier : «Je suis journaliste... Dieu et le wali de Tlemcen sont témoins que j’ai passé toute la nuit à demander de ses nouvelles et d’envisager tous les moyens pour l’aider. Le Tout-Puissant en a décidé autrement et on n’est tous appelés à mourir un jour. Que Dieu ait son âme.» M. Mehal s’est déplacé à Tlemcen pour s’enquérir des projets en réalisation entrant dans le cadre de «Tlemcen, capitale de la culture islamique en 2011», relevant de son secteur. C. Berriah
El Watan Week-end, n°91 du vendredi 31 décembre 2010, p. 2